Pour un observateur avisé, Eric Dénécé ne se serait pas suicidé...
Sa mort survenue le 9 juin dernier à Serraval en Haute-Savoie avait interpellé et on s'était demandé si elle n'avait pas été pilotée par une des mouvances elyséennes soucieuses de s'en prendre à certains opposants à la Macronie. Il faut dire que peu de gens croyaient à la thèse du suicide mise en avant. Et l'ancien directeur du renseignement Alain JUILLET en fait partie qui évoque dans un entretien au média Omerta (ci-dessous) des petites choses qui le dérangent. Notamment le fait qu'Eric DENECE, âgé de 62 ans, qui était considéré comme une cible, se serait suicidé dans sa voiture avec une 22 long rifle et qu'on n'aurait pas retrouvé d'empreintes sur l'arme alors que, dans le même temps, le "suicidé" ne portait pas de gants ! Sans pour autant que cela ait incité les enquêteurs à approfondir la chose. Certains de ses proches, dont ses parents, « refusent l'idée » qu'il ait pu se donner la mort, tout en admettant qu'il « traversait une mauvaise passe financière ».
Ce directeur du Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R), qu'il avait fondé en 2000 intervenait régulièrement dans les médias signalant parfois des éléments qui auraient pu déranger un certain nombre de ceux auxquels il s'opposait et mis en cause. Il avait notamment critiqué la vente par ALSTOM de sa branche énergie à l'Américain General Electric, ce qui avait déplu à l'Elysée. Taxé de complotisme, on le disait en effet proche des Russes et de Vladimir POUTINE ce qui aurait suffi à indisposer une organisation ukrainienne comme Myrotverets qui aurait pu éprouver l'envie de le voir disparaître le considérant comme un ennemi de l'Ukraine. Mais la chose n'a pas, là non plus, été démontrée.
Une affaire à suivre...
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