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Henry Ford, l'Américain antisémite, partisan des nazis...

 

Ce n'est plus un secret, Henry FORD avait contribué à l'arrivée au pouvoir en Allemagne d'Adolf HITLER ! Mais sans doute avait-il été conquis par l'antisémitisme proféré par les nazis, lui qui avait avoué détester les Juifs ! Il se serait inspiré, dit-on, de ce qui avait figuré dans "Le protocole des sages de Sion", le plagiat d'un ouvrage publié en Russie. Certains diront même de lui qu'il avait été un "maître à penser d'HITLER". Sans que cela ait été confirmé il aurait financé dès le début des années 1930 le parti nazi en laissant des bénéfices en provenance d'Allemagne à ce parti et en versant en plus 50 000 dollars chaque année à l'occasion de l'anniversaire d'HITLER. Son opinion à propos des Juifs sont d'ailleurs connus ! « Notre travail n’a pas la prétention d’avoir le dernier mot sur les juifs en Amérique. […] Si les juifs sont si sages qu’ils le disent, ils feraient mieux de travailler à devenir des juifs américains, plutôt que travailler à construire une Amérique juive »Quand la Seconde Guerre mondiale éclatera, Henry FORD, en bon pro-nazi, militera aux côtés de l'aviateur Charles LINDBERGH dans l'organisation America First pour maintenir coûte que coûte l'Amérique en dehors de la guerre !

Rien ne prédestinait Henry FORD à devenir un des hommes les plus puissants au monde. Né le 3auvais élève qui n'avait jamais appris à bien orthographier ni à lire. Mais après s'être passionné dès son plus jeune âge pour les processus mécaniques et avoir tout cerné en intégrant la firme familiale comme simple apprenti, il révolutionnera cependant l’industrie américaine en favorisant une consommation de masse permettant de produire à plus de 16 millions d’exemplaires sa "première Ford". En 1908, à 45 ans et après plusieurs essais restés infructueux, il disait avoir compris les besoins de mobilité des millions de ses concitoyens. avouant vouloir construire une voiture automobile pour le plus grand nombre. En proposant des chaînes d'assemblage dès 1913, il y parviendra ! À Highland Park où il avait développé ses usines, la production du modèle T atteindra des niveaux record avec chaque jour ouvré, une voiture terminée qui quittera la chaîne toutes les 10 secondes. Pour lui, échouer, c'était avoir la possibilité de recommencer de manière plus intelligente ! Mais sur ses chaînes régnera aussi une discipline de fer et des conditions de travail harassantes avec un paternalisme qui ne connaîtra pas de limites. « Nous fabriquons des hommes autant que des automobiles », affirmait-il, lui qui n’hésitait pas à régenter la vie de ses ouvriers jusque dans leur vie intime ! Ainsi morale, propreté, et sobriété devront être adoptées sous peine de retenues sur salaire, voire de licenciement. Interdiction de discuter avec ses collègues, rythme endiablé, contrôles incessants, pas de syndicat, ses ouvriers seront considérés comme des robots.

Les dernières années sont particulièrement frustrantes pour Henry Ford, notamment à la veille de la Seconde Guerre Mondiale. Il n’accepte pas les changements induits par la Grande Dépression qui a frappé les Etats-Unis après le krach de Wall Street et il s’opposera au plan mis en œuvre par le président ROOSEVELT en vue de redresser la situation économique et sociale de son pays. Ce qui lui vaudra également de s'opposer aux syndicats de travailleurs. Son état de santé mis à mal par la disparition de son fils Edsel en 1943, il sera victime d'une hémorragie cérébrale, et il mourra le 7 avril 1947.. 



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