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François de Grossouvre, un ami devenu encombrant ?

 François de Grossouvre, un ami devenu encombrant ?

Sur la fin de Saint François de Jarnac, les cadavres n'en finissaient plus de s'entasser et de faire la une de toutes les gazettes, et cela sans que l'on puisse savoir qui pouvait avoir désespéré tous ces fidèles de la Mitterrandie pour qu'ils en soient tous arrivés à défaillir de la sorte. Il y avait eu Roger-Patrice PELAT compromis dans plusieurs affaires de gros sous dont le coeur s'était arrêté de battre après une menace de rupture de l'ami François lui-même, puis Pierre BEREGOVOY l'homme au carnet noir mystérieusement disparu et enfin le 7 avril 1994 François de GROSSOUVRE, celui qui connaissait tous les secrets du Président MITTERRAND, un ami avec lequel le monarque charentais aimait chasser et qui se serait plombé avec un Magnum 357. 

Roger-Patrice Pelat, "l'ami du Président". Encore une bien curieuse disparitionUne disparition que l'on a mis sur le compte d'un épisode dépressif d'un homme qui n'avait pas su dire non à quantité de magouilles, une ficelle qui apparaît cependant bien grosse de l'avis de beaucoup de ceux qui le fréquentaient comme le chroniqueur Jean MONTALDO. Ce dernier en parle savamment dans un ouvrage sorti quelques mois après la mort de l'intéressé (document ci-contre). Aurait-on donc « suicidé » François de GROSSOUVRE, ou l'ancien conseiller de François MITTERRAND se serait-il effectivement donné la mort dans son bureau de l'Elysée, le 7 avril 1994? A cette énigme jamais vraiment résolue, Le Dernier Mort de Mitterrand*, livre récemment publié par une autre journaliste du nom de Raphaëlle BACQUE, les descendants de cette éminence grise avaient décidé de rompre le silence qu'ils observaient depuis seize ans, décidés à connaître la vérité. Ce qui est certain, c'est que Patrick de GROSSOUVRE, le fils du disparu avait contesté la version de BACQUE lui reprochant de soutenir la thèse officielle du suicide et d'être allée au-delà des déclarations des témoins, rendant son ouvrage suspect. On n'a donc jamais su d'après lui, si son père avait été drogué. Il s'est peut-être suicidé, certes mais il se peut aussi qu'on l'ait suicidé en lui tordant le bras et en tenant sa main pour appuyer sur la détente.

Ce qui est certain, c'est que François de GROSSOUVRE était devenu gênant et qu'il savait beaucoup de choses sur beaucoup de gens dont il avait prévu de parler dans des Mémoires qu'il projetait de publier. Si son fils a pu retrouver certaines des feuilles de cet ouvrage, d'autres ont mystérieusement disparu, comme si on avait voulu les soustraire de la vue de ses proches.

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