Est-ce que nous mangeons de la merde ?
A L'heure où il est question de nous donner à "bouffer des insectes" on se souviendra d'un reportage sidérant que celui qui avait été réalisé par l'équipe d'Elise LUCET pour le magazine Envoyé Spécial en 2019. Loin de mettre l'eau à la bouche, même si on se doutait depuis quelque temps déjà que le consommateur était pris pour un animal de laboratoire et que seule comptait la réussite sonnante et trébuchante des grands groupes alimentaires qui nous mitonnent des préparations et des produits transformés souvent destinés à satisfaire nos papilles gustatives, mais qui présentent un réel danger, comme le montre le reportage ci-dessous ! Un reportage mis au goût du jour avec ce que l'on prévoit de vraiment kitch pour corser encore un peu plus le problème avec ces insectes ci-dessous.
La célèbre chercheuse Alexandra HENRION-CAUDE vient même d'en rajouter une couche à propos de toutes ces cochonneries qu'on envisage très bientôt de commercialiser. Elle y ajoute des précisions quant aux appellations qui figureront sur les étiquettes de commercialisation des produits incriminés ! Faites donc attention !
Patrick, le témoin de ce reportage a bien voulu se prêter à un test dont le résultat est éloquent. D'autant qu'il apparaît qu'un tiers des calories que nous absorbons proviennent d'aliments transformés. Depuis qu'il a cessé, pour plus de facilité selon lui, de jeter son dévolu sur des plats transformés où se côtoient pas moins d'une dizaine d'ingrédients et d'additifs de toute sorte, il a perdu en six semaines près d'une vingtaine de kilos ! Ce qui n'est guère étonnant dans la mesure où les grands groupes agroalimentaires privilégient de plus en plus leurs marges au détriment de la santé des consommateurs qu'ils servent. En faisant, par exemple, appel à un sirop de glucose-fructose que l'on retrouve dans certaines de leurs préparations et qui est un véritable poison pour nos pancréas. Vous le verrez du reste dans le reportage d'Envoyé Spécial, on est à peu près sûr d'avoir un jour eu dans l'assiette des préparations qui ressemblaient à du poulet, mais sans qu'il s'y trouve un seul morceau de poulet ! Les préparations de chez FLEURY-MICHON ou de la marque LE GAULOIS entrevues dans nos hypers et autres Centre Leclerc et vantées par une publicité où seraient censés se côtoyer riz et morceaux de poulet, auraient-elles donc été préparées sans poulet ? On peut légitimement se poser la question.
Le problème, et c'est même grave au plan de leurs conséquences sur notre santé, c'est que toutes ces manipulations culinaires fichent notre santé en l'air ! Le test auquel s'est soumis Patrick dans le reportage est plus que parlant ! A l'examen de toutes ces données, il y aurait donc peut-être à réfléchir davantage sur nos agissements et habitudes culinaires et à donner la priorité à davantage de fraîcheur alimentaire ! En laissant de côté nos micros-ondes et tout ce que les grands groupes alimentaires nous préparent de plus en plus présents dans les hypers et les supérettes où nous faisons nos courses !
Dans un ouvrage du magnétiseur écolo Claude FISCHER que notre premier label avait publié en 2014, Fabuleuse énergie, et réédité à l'été 2020 dans le cadre d'une chasse au Covid19, ce dernier attirait déjà notre attention sur cette mal bouffe et le risque inhérent aux métaux lourds que certains aliments faisaient peser sur notre santé. Mais ici, avec ces aliments transformés, le dossier prend inévitablement encore un peu plus d'épaisseur.
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