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Qui étaient-elles ces abominables nazies en jupon ?

 Qui étaient-elles ces monstresses nazies en jupon ?

Beaucoup trop seront passées entre les mailles du filet alors que ces monstres auraient mérité la mort ! Mais qui étaient-elles toutes ces femmes qui se seront parfois distinguées aux côtés de leurs hommes au sein d'un univers où l'on donnait facilement la mort et où l'on se plaisait à faire souffrir les autres ? Des femmes ? Vraiment ou bien des êtres qui avaient choisi de s'élever dans la hiérarchie nazie pour enfin avoir un rôle sans l'obligation de rester chez elles et d'être de parfaites mères de famille ? Encore qu'on imagine mal de tels êtres pouvoir être parfaites !

Certaines changeront de nom désireuses de se faire oublier après la guerre en se fondant même dans des lots de réfugiés pour échapper aux sanctions. Simon WISENTHAL, le chasseur de nazis lancera des recherches et il parviendra dès 1971 à faire extrader celles qui avaient réussi à quitter l'Allemagne pour redémarrer une nouvelle existence à l'étranger. Comme une certaine Hermine BRAUNSTEIN !

En dehors de cette dernière et des plus connues comme https://Irma GRESEIlse KOCH, la sorcière nazie de Buchenwald, Herta OBERHAUSER ou Erna PIETRI, elles sont quelques-unes comme  Juana BORMANN ou Elisabeth VOLKENRATH, Melita MASCHMANN, Lisel RIEDER, Liselotte MEIER, Gertrud SLOTTKE ou Annette SCHIKING à avoir servi le Troisième Reich et souvent avec brutalité uniquement pour que l'on parle d'elles. Ainsi en est-il de cette ancienne infirmière que l'on surnommait "Brigida", Hildegard LACHERT (en tête d'article) qui a d'abord sévi comme gardienne auxiliaire au camp de Maïdenek et qui était extrêmement violente puisqu'elle ira jusqu'à piétiner un détenu jusqu'à ce qu'il meure. Un témoin dira d'elle à son procès qu'elle était comme une bête avide de sang et que c'étaient les enfants du camp qui souffraient le plus, alors que cette cruelle gardienne avait elle-même des enfants à la maison. Quand elle frappait les déportés, son visage devenait horrible et n'était plus celui d'une femme. L'irritation exagérée qu'elle ressentait envers les enfants de Majdanek l'avait amenée à gazer des groupes de plus d'une centaine d'enfants à au moins deux reprises. Pour l'obtenir, il leur avait donné des bonbons. Pour gagner leur confiance lorsqu'il s'agissait de les faire monter dans les camions. Le camp de concentration de Majdanek était situé dans le quartier du même nom, en plein cœur de la ville de Lublin, dans l'actuelle Pologne. Selon les dernières recherches effectuées, environ 78 000 personnes sont mortes dans le camp de concentration et d'extermination, et environ 60 000 ont été persécutées en tant que membres du judaïsme. De nombreux prisonniers des camps de concentration sont morts dans les conditions catastrophiques d'insalubrité du camp provisoire jusqu'à sa libération par l'armée soviétique le 24 juillet 1944. 

Qui étaient-elles ces monstresses nazies en jupon ?En 1944, après la naissance de son troisième enfant, LACHERT continuera à servir au camp d'Auschwitz avant de s'enfuir en déc. à la suite de l'avancée de l'Armée rouge et de gagner le camp de Bolzano en Italie. Encore qu'il n'ait pas été démontré qu'elle ait pu y servir, certains la voyant plutôt servir au camp de Mauthausen en Autriche. Considérée comme un être brutal et sadique, elle était la terreur des prisonniers. le 24 novembre 1947, la Tigresse siègera au banc des accusés avec 23 autres anciens SS. Elle ne sera pourtant condamnée qu'à une peine de quinze années de détention. Mais alors qu'il semblait que tout était fini pour l'ancienne garde nazie, le gouvernement allemand décidera de rouvrir l'affaire et d'arrêter 16 anciens gardiens du camp de concentration de Majdanek parmi lesquels se trouvait Hildegard LACHERT (photo ci-dessus)

Cette "Brigida" a été accusée d'être complice de plus de 1 200 meurtres. Mais l'une des principales accusations portées contre elle était d'avoir incité l'un des chiens qui l'accompagnait toujours à attaquer un prisonnier juif. Elle a également été accusée d'utiliser constamment une cravache renforcée de billes d'acier et avec laquelle elle a donné la mort à plus d'un prisonnier ; d'avoir abattu de sang-froid une juive grecque après que son chien l'ait poursuivie ; de noyer deux détenus dans le puisard pour n'avoir pas suffisamment nettoyé les toilettes du camp ; et bien sûr, de participer à la sélection des déportés vers les chambres à gaz. On laisse entendre que LACHERT n'ait pas purgé l'intégralité de sa dernière peine et qu'elle ait été enrôlée par la C.I.A pour lutter contre les représentants de l'ancienne URSS ainsi que par les services secrets allemands. Ce pourrait être la raison pour laquelle la Justice a fermé les yeux sur de tels agissements car pour qu'il n'y ait que 77 de ces monstres sur 3 500 enquêtes diligentées...

Le reportage qui suit consacré à ces êtres monstrueux, parmi lesquelles des femmes, fait froid dans le dos.

  

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