Nouvelles précisions en lien avec le dépôt de plainte de Christian Cotten...
Il va falloir aller vite et désormais ne pas hésiter à s'allier pour partager des informations que l'on n'avait pas cru essentielles jusqu'à maintenant. Surtout depuis le placement en garde à vue de gens accusés de complotisme, au nombre de trente au cours des semaines passées. Comme l'a dit Christian COTTEN lors du dépôt au pénal de sa plainte contre x dirigée contre un certain Jean-Michel TROGNEUX, "la vérité nous rendra libres" et nous en avons sacrément besoin. Et cela d'autant que la Macronie fait désormais interpeller des opposants comme Zoe SAGAN ou Bertrand SCHOLLER qu'elle fera place en garde à vue au moins pendant 48 heures.
Qu'on le veuille ou non, tout cela est effectivement lié au changement d'identité d'un certain #jeanmicheltrogneux qui, au milieu des années quatre-vingt, a pris la place de sa soeur née en 1953 et qui serait décédée d'une maladie jugée honteuse par sa famille en 1960. Dans un document souvent publié sur cette famille TROGNEUX on voit d'ailleurs cette petite assise avant son décès sur les genoux de sa mère et le dénommé Jean-Michel sur la gauche du document, devant un lampadaire. Il y aurait donc eu dès lors un traficotage familial faisant en sorte que Jean-Michel TROGNEUX puisse prendre la place de cette soeur décédée. Un sacré montage sur lequel on n'a pas encore toutes les données mais qui ont incité le psychosociologue Christian COTTEN à déposer une plainte avec constitution de partie civile auprès du doyen des Juges d'Instruction du Tribunal Judiciaire de Paris pour que soit ordonnée une enquête.
Le cœur de cette affaire repose sur des incohérences présumées dans les documents d’état civil de Brigitte MACRON, laissant entendre qu’elle serait en réalité "Jean-Michel TROGNEUX". Si cette théorie, née sur Internet, a longtemps été considérée comme une rumeur, malgré des nibards à géométrie variable qui ont tendance à mal voyager, elle prend aujourd’hui un tour juridique inédit avec cette plainte officielle. Au-delà des débats sur l’identité, les accusations d’abus sexuels sur mineur et de mariage illégal contracté en 2007 avant promulgation de la loi sur le mariage pour tous, projettent une lumière crue sur des enjeux éthiques et juridiques, ravivant le débat sur les relations d’autorité impliquant des mineurs.
L'un des avocats en charge du dossier Maître FORTUNAT-LABATTUT s'exprime ci-dessous sur la recevabilité de cette plainte et n'exclue pas d'être obligé d'en passer par des poursuites internationales si le Parquet ne jugeait pas cette plainte recevable. Une affaire à suivre donc !
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